Le silence familier
Vous envoyez le planning... et puis, le silence. Certains collaborateurs répondent dans la minute, d’autres des heures plus tard — voire pas du tout. Cela peut sembler aléatoire, mais derrière ce comportement se cache un phénomène connu : nous reportons les petites décisions.
Pas par manque d’intérêt, mais parce que notre cerveau fonctionne ainsi. Même un simple « oui » ou « non » à un shift demande de l’énergie mentale. Et plus nous recevons de messages et de notifications, plus nous avons tendance à penser : « je le ferai plus tard. »